Brit rap : de Ghostpoet à Robert Wyatt
Sans musique dans les esgourdes pas de nouveau son à faire partager. Précisément, je cherchais le dernier album de rock qui allait me redonner le frisson. Voilà l'erreur. Il y a bien quelques noms qui me sont passés sous le nez, mais rien qui n'emporta un suffrage suffisamment important pour me pousser à l'achat compulsif. C'est du côté du rap british, yes my lord, que je dégotais le "bon son" recherché.
En premier lieu, une joli découverte, bien qu'à destination des plus dépressifs, GHOSTPOET. L'album est fraîchement sorti, mais il semble égrainé quelques EP depuis près d'un an. Un son électro, un flot posé, "j'aime".
D'un autre côté, nous avons DAN LE SAC vs SCROOBIUS PIP et leur second opus. Electro cockney pêchue, n'oubliez de vous munir des paroles pour écouter leurs chansons.
Il y a aussi ce vieux de la vielle, dont on a peut-être un peu fait le tour, MIKE SKINNER alias "THE STREETS". Il récidive et nous propose un petit florilège nettement plus pop que ses premières créations. Il reprend néanmoins du poil de la bête et nous propose un petit clip interactif, juste ci-dessous.
Enfin mon chouchou, ROBERT WYATT. Il n'en finit plus de créer. 45 ans qu'il trace la route de son progressif émouvant. Son dernier 33 tours est paru cet automne, un morceau de rap s'est subrepticement glissé sur la première face.
Enfin mon chouchou, ROBERT WYATT. Il n'en finit plus de créer. 45 ans qu'il trace la route de son progressif émouvant. Son dernier 33 tours est paru cet automne, un morceau de rap s'est subrepticement glissé sur la première face.
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