L'écho de la sortie de son album était parvenu jusqu'à mes oreilles en février dernier, et puis rien. Pourtant, cette "soul électro dépressive" tenait suffisamment de charme pour poursuivre plus en profondeur l'exploration de la faille musicale...
C'est en refaisant le tour des sorties soul de l'année, Raphaël Saadiq, Mickaël Kiwanuka, Aloe Blacc,... que le souvenir de James Blake, 22 ans à peine, londonien, très bon chanteur et compositeur doué, revint à mes oreilles. La mémoire c'est fou, on se souvient !
Attention, ici, vous ne décollerez jamais de votre siège pour aller grossir les rangs des dancefloors de la ville, non, James Blake n'est pas de ce genre-là. Il nous invite au voyage intérieur. La tête plongée dans un bain d'eau chaude, les sons apparaissent différents, le temps s'efface, le rythme ralentit, la douceur est enivrante,... Une immersion dans le grand bleu, voilà l'impression que dégagerait l'album s'il n
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